MEZZO-SOPRANO
«Voix de bronze dans le grave, malléable dans l’aigu, phrasé empreint de vérité, Floriane Hasler rend cet Orphée très crédible en dépit de son apparence féminine.»
Le Monde
«Il faut (...) aller la chercher, cette émotion. Et la trouver dans la voix d’Orphée qui porte littéralement l’œuvre : magnifique Floriane Hasler (...), volontaire et hésitante, délicate et désespérée, aimante et déchirée – jusqu’à quelque fêlure terriblement poignante (« Quel nouveau ciel pare ces lieux, » II, 3). »
Diapason
«C’est Floriane Hasler qui l’incarne, de sa voix au timbre rond, chaleureux et homogène, aux beaux graves profonds. Elle y investit une charge émotionnelle constante, et son air « J’ai perdu mon Eurydice » est magnifique d’expressivité et de legato.»
Resmusica
«(...) très convaincant Orphée de Floriane Hasler à la voix ample et bien projetée, à l'interprétation toute en retenue, dépourvue d’afféterie comme dans le très touchant " Eurydice n'est plus ".»
Forumopera
« Floriane Hasler est l’Architecture avec une voix bien construite, aux fondations solides : le large volume d'un timbre chaud et appuyé mais sachant aussi orner des fioritures vocalisantes. »
Olyrix
« Floriane Hasler, mezzo de 27 ans, emporte le premier prix. Voix d’exception, sonore, colorée de l’irisation aux accents les plus puissants, aux graves aisés et solides, conduite avec la plus grande intelligence musicale, nous avons là une belle promesse. En attendant sans doute Elektra d’ici quelques années, elle nous a gratifiés d’une Didon poignante (celle de Purcell), les traits, la virtuosité, la projection étant illustrés magistralement dans un air de l’Orlando furioso de Vivaldi. C’est par le « Vergnügte Ruh » qui ouvre la cantate BWV170 de Bach qu’elle acheva sa prestation, dans la lumière sereine, évidence de la béatitude. »
Forumopera
"La mezzo-soprano Floriane Hasler éblouit en prince Orlofsky de par sa maîtrise vocale alliée à un timbre lumineux et précis. Déjà riche d’une expérience professionnelle, elle montre une assurance sans faille et une puissance revigorante lorsqu’elle entonne l’hymne au champagne."
Olyrix
"[...] Floriane Hasler (Orlofsky) donne une leçon d’articulation, au service d’un timbre splendide."
ConcertoNet
« Eve est incarnée par la mezzo-soprano Floriane Hasler. Son timbre rond et caressant offre des graves suaves (...).»
Olyrix
« La jeune mezzo Floriane Hasler campe ainsi une Eve toute en légèreté, avec une voix ronde et caressante. »
ConcertoNet